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Ségolène 2010

4 avril 2010

Heuliez : la Région reprend la main


ECONOMIE.

Heuliez : la Région reprend la main




Ségolène Royal aux cotés des salariés d'Heuliez
envoyé par segolene-royal. - L'info video en direct.

Ségolène Royal répond aux questions des journalistes, le vendredi 2 avril à Cerizay, à l'issue d'une rencontre avec les salariés de l'équipentier automobile Heuliez pour évoquer la situation de l'entreprise. (Photo AFP)
Ségolène Royal répond aux questions des journalistes, le vendredi 2 avril à Cerizay, à l'issue d'une rencontre avec les salariés de l'équipentier automobile Heuliez pour évoquer la situation de l'entreprise. (Photo AFP)

 

Ségolène Royal a annoncé hier à Cerizay (Deux-Sèvres) que la Région reprenait en main l'avenir du constructeur et équipementier automobile Heuliez. « Il ne faut plus qu'on subisse les caprices qui font perdre du temps à l'entreprise », a indiqué la présidente de Poitou-Charentes. Heuliez a cru être sauvé par le cabinet de conseil BKC, qui s'est révélé incapable de verser les fonds promis. Peu avant, l'assureur Macif avait renoncé à prendre part au capital. Et, mercredi, l'homme d'affaires turc Alphan Manas a proposé d'acheter 15 % du capital. Une proposition jugée « insuffisante ». « La Région a la légitimité. C'est la seule qui ait apporté 5 millions d'euros », a souligné Jean Grelier, député (PS) des Deux-Sèvres, très investi dans le dossier. Mme Royal a annoncé qu'« un certain nombre d'investisseurs potentiels ont pris contact avec l'entreprise et la Région », et que « deux ont été rencontrés et le seront à nouveau la semaine prochaine ». Elle a aussi confirmé son idée de Scop (société coopérative ouvrière de production). « Un partenariat mixte avec des investisseurs industriels du secteur automobile ou de la croissance verte, avec la Région et les salariés. »

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3 avril 2010

Productrices de lait samedi 3 avril Poitoers

 

Productrices de lait : samedi à Poitiers avec le soutien de Ségolène Royal

     

 

     

 

 

 

 

 

    LeMonde.fr  

 

 

   

    Une organisée à Poitiers par l'Association des producteurs de lait indépendants (Apli) a rassemblé samedi 400 éleveuses et femmes d'éleveurs venues avec leurs enfants faire part du malaise de la profession. La présidente de la région Poitou-Charentes, , est     venue les soutenir.  

   

      Venues essentiellement du Poitou-Charentes et de l'Ouest, mais aussi d'Aquitaine, du Limousin, du Pas-de-Calais et du Cantal, elle ont bruyamment défilé après avoir partagé un pique-nique dans un parc, sous la pluie battante.  

 

    «C'est la première manifestation de femmes et d'enfants d'Aplistes. On veut faire voir qu'on soutient nos maris et le boulot qu'ils font. Et ce ne sont pas des hommes qui souffrent, ce sont des familles entières», a déclaré à l'AFP Laurence Legault, une des organisatrices venue de Loire-Atlantique.  

 

    Tirant des pots à lait derrière elles, les manifestantes ont derrière la banderole «Prix du lait à 40 centimes», plusieurs     d'entre elles portant des croix à la main où était inscrit «Non au libéralisme».  

 

    Les éleveuses, qui protestent contre la perte importante de leurs revenus depuis deux ans, ont allumé plusieurs centaines de bougies devant une église de la ville et respecté une minute de silence en hommage aux agriculteurs qui se sont suicidés par désespoir ces derniers mois.  

 

    «Je n'ose pas vous dire combien je gagne parce que nous ne nous versons plus de salaire depuis la crise», témoigne Marie-Hortense Guehenec, agricultrice morbihannaise de 56 ans, qui travaille à perte avec son mari depuis des mois.  

 

    Le lait était payé aux producteurs autour de 35 centimes le litre en mars 2009, il est actuellement payé aux alentours de 26 centimes, précise-t-elle.  

   

      Sommés par le gouvernement de s'entendre sur les prix du lait, producteurs et industriels français ont réussi mardi à trouver un compromis pour le 2e trimestre sur ce dossier. Mais cet accord, signé par la Fédération nationale des producteurs laitiers (FNPL), branche du principal syndicat agricole FNSEA, ne satisfait pas les organisations minoritaires comme l'Apli.  

29 mars 2010

Ségolène Royal et la leçon des régionales

 

Publié le 28 Mars 2010

Ségolène Royal et la leçon des régionales

Ségolène Royal a effectué un score remarquable dans des circonstances très particulières de nature quand même à permettre l'identification des enjeux des prochains scrutins.

Le résultat du 21 mars 2010 laisse apparaitre des enseignements importants sur le comportement de vote des Français.

5 tendances fortes se dégagent :

1)L'importance de l'électorat flottant s'amplifie de façon considérable. L'ajout de l'abstention + des votes blancs + des votes à vocation exclusivement protestataire laisse un montant cumulé de près de 70 % de la totalité du corps électoral potentiel. Cette part d'électorat flottant devrait connaitre l'ajout des votes de "décision de dernière minute". Une récente enquête indique que près de 25 % des participants n'ont pas de vote définitivement ancré au moment même où ils quittent leur domicile pour se rendre à leur bureau de vote.

2)Les médias structurent peu le comportement de vote. D'ordinaire, la structuration concerne la hiérarchisation des enjeux. Le décalage entre les médias et l'opinion publique augmente. Une campagne électorale, c'est une dynamique progressive qui prend corps par l'effet de trois acteurs : responsables politiques, médias, opinion publique. Si chacun de ces trois acteurs vit à son rythme distinct des autres, il ne peut plus y avoir un agenda commun de campagne.

C'est ce qui s'est produit lors des régionales par le divorce entre les sujets de préoccupations et les sujets de controverses. Les seconds ont éclipsé les premiers.

3)Nicolas Sarkozy a été l'enjeu principal. Ce facteur peut porter une part des explications de la forte abstention. C'est un enjeu qui ne concerne pas la vie quotidienne des Français. Il concerne le fonctionnement des Institutions, la stratégie politique, l'anticipation sur l'interprétation éventuelle des résultats.

C'est un thème qui passionne les médias mais peu l'opinion.

Ce volet est intéressant parce qu'il montre l'incapacité des trois acteurs à vivre "la même heure". Les partis politiques ont vécu des controverses très ponctuelles. Les médias ont nationalisé la campagne. L'opinion se repliait sur elle-même au fur et à mesure qu'elle constatait que ses préoccupations quotidiennes restaient à l'écart.

4)L'idéologie disparait du débat. L'actualité la plus immédiate s'impose en permanence. La disparition de l'idéologie déstructure le débat. Derrière le mot idéologie, il n'y a pas nécessairement la réapparition d'un clivage droite / gauche. D'autres thèmes peuvent faire vivre la campagne : le rôle des régions face à l'Etat ? l'implication des régions dans la relance économique ?

5)Chaque parti s'installe dans une stratégie d'évitement. Il est intéressant de noter que chaque parti a réussi à écarter le sujet que l'autre voulait placer au centre du débat. Le PS est parvenu à éviter le débat sur le bilan des régions PS. L'UMP est progressivement parvenue à dénationaliser le débat. Les forces classiques (UMP et PS) avaient des intérêts communs pour marginaliser le Modem qui n'a donc trouvé aucun espace de considération. Les Verts et le FN ont fait cavalier seul s'adressant directement à leurs électorats mais sans réelle controverse globale.

Toute la campagne a été organisée et vécue autour de l'évitement permanent.

Ce préalable effectué, il reste à étudier deux autres volets :
- ce type de campagne est-il spécifique aux régionales ou est-ce une campagne d'apprentissage avec l'émergence de nouvelles tendances applicables à d'autres élections ?
- avec toutes les précautions techniques nécessaires liées aux préalables, des tendances nouvelles de l'opinion sont-elles nées ?

En ce qui concerne l'appréciation sur une "campagne d'apprentissage" avec des données applicables aux futures campagnes, il importe de noter l'impact de la faible notoriété de l'appartenance régionale qui dote cette campagne d'une spécificité certaine.

Les régionales comme "scrutin solitaire" remplissent toutes les données pour une campagne difficile : la notoriété des participants est faible, la notoriété et l'utilité pratique de la collectivité sont faibles …

Avec ces deux réalités, faire vivre une campagne régionale exige des efforts particuliers.

Par conséquent, il parait excessif de tirer des enseignements généraux d'une campagne très particulière. Le scrutin régional a souvent été couplé à d'autres scrutins : en 1986, le scrutin régional était couplé avec des législatives, en 2004, le scrutin régional était couplé avec des cantonales...

Faire vivre un scrutin régional seul, c'était un immense défi. Les régionales 2010 sont donc marquées par une indiscutable spécificité.

Pour autant, ce scrutin laisse apparaître des traits de l'opinion qui méritent une certaine attention.

L'opinion publique présente deux caractéristiques :
- elle est déboussolée,
- elle est en mal de revanche.


L'opinion publique est déboussolée, parce qu'elle n'a plus  confiance.

Cette confiance a été ébranlée par :
- l'absence de résultats concrets depuis 2007,
- par les moeurs politiques qui l'installent dans le sentiment que les principaux décideurs ne connaissent pas "la vraie vie" et tout particulièrement celle née de la crise de l'automne 2008,
- par la fonction présidentielle qui, sous Nicolas Sarkozy, expose excessivement des volets de tempéraments dans des conditions particulièrement inhabituelles et clivantes.

L'opinion publique est aussi, voire surtout maintenant, en mal de revanche. L'offre 2010 a été très pauvre parce que de nombreux candidats potentiels avaient le sentiment juste et légitime qu'ils seraient scotchés au bilan Sarkozy et que donc la victoire deviendrait impossible.

Ce scrutin confirme donc l'indiscutable crise de la représentation politique en France et l'amplifie.

Cette crise encore larvée avait expliqué pour partie le succès de Nicolas Sarkozy en 2007. Elle est probablement plus profonde à ce jour.

Cette crise est d'abord une crise d'identité du personnel politique. Les illustrations en sont nombreuses. L'étiage militant faiblit. L'affirmation de leadership est bloquée par des querelles internes sans fin. La fonction parlementaire n'a pas retrouvé son lustre. La fonction gouvernementale est désormais affectée par un affaiblissement sans précédent sous la Vème République. La présidentialisation absolue du système politique modifie toute la compétition politique.

Chacun perçoit bien que la resocialisation de l'opinion Française va passer par ces deux défis :
- recréer une offre d'idéal,
- réinstaller le citoyen au centre de l'action.

Dans une opinion aussi indécise, le candidat qui parviendra à répondre à ces deux défis dans le cadre de la présidentielle 2012 fera probablement bouger les lignes dans des conditions considérables.

Tout l'enjeu pour une candidate comme Ségolène Royal consiste à définir ce nouvel idéal et les conditions nouvelles de participation du citoyen à l'engagement collectif.

Si elle y parvient sur le plan national dans des conditions identiques à sa campagne régionale, les lignes classiques devraient beaucoup évoluer.

27 mars 2010

Déclaration commune des Présidents de Région de gauche

Déclaration commune des Présidents de Région de gauche

le vendredi 26 mars 2010

Les Français ont renouvelé leur confiance aux Présidents de Région, affirmant ainsi la reconnaissance des politiques conduites
depuis 2004 et leur soutien aux programmes défendus lors de la campagne.
Les Français ont répondu ainsi aux attaques incessantes et indignes dont les collectivités territoriales, et notamment les Régions,
ont été la cible de la part du gouvernement.
Mais les Français savent que les Régions ont rénové et développé les transports en commun laissés à l’abandon par l’Etat, que les
Régions ont construit et modernisé les lycées mais également les universités pour permettre aux jeunes de se former et qu’elles
se sont mobilisées pour faire face à la crise économique et sociale ainsi qu’aux défis environnementaux, notamment au travers
de la promotion des énergies renouvelables et de recherche d’économies d’énergie.
Il n’y a plus que l’Etat qui semble ignorer que les collectivités locales financent 75% de l’investissement public et 45% du Plan de
relance (contre 4% de la part de l’Etat) alors que le gouvernement multiplie les cadeaux et boucliers fiscaux à quelques privilégiés
Le gouvernement voulait faire de l’élection régionale un référendum sur la réforme des collectivités locales. Ce référendum, ce
sont les régions qui l’ont gagné !
Dès lors, nous, Présidents de Région, demandons au gouvernement
- de renoncer immédiatement au projet de réforme des collectivités locales qu’il veut faire adopter
à marche forcée au Parlement. Nous demandons un vrai dialogue avec les collectivités, pour repenser leurs relations
avec l’Etat, pour que les responsables politiques, nationaux ou locaux, travaillent ensemble avec pour seul souci
l’intérêt général. L’arrivée en fin de droit d’un million de chômeurs nécessite une nouvelle coordination entre l’Etat et
les Régions, ces dernières n’étant pas des services extérieurs de l’Etat.
- de retirer le projet de loi du Grand Paris, que les Franciliens ont, à travers leur vote, clairement rejeté.
- de conditionner toute évolution institutionnelle ou statutaire dans les collectivités d’outre-mer à
une demande préalable exprimée par les élus de ces territoires,
- d’ouvrir au plus vite dans chacune des Régions la renégociation des contrats de projets signés en
2007 pour la période (2007-2013). Aujourd’hui, la donne a changé. Les Régions sont privées d’autonomie fiscale
depuis la suppression de la taxe professionnelle. Elles ne seront plus en mesure de co-financer les projets
gouvernementaux qui n’étaient pas de la compétence des Régions. Plus que jamais, les Régions doivent mobiliser leurs
ressources pour assumer leurs compétences propres et secourir, avant tout, les populations et les territoires victimes
de la crise économique et sociale que nous subissons. L’Etat ne peut pas simultanément poursuivre son entreprise de
« casse » des Régions et leur demander de venir financer les projets qu’il ne peut plus assumer seul. Si la
contractualisation devait se poursuivre, cela ne pourrait être que sur des bases renouvelées.
- de s’engager résolument dans une nouvelle étape de la décentralisation, en donnant aux Régions,
à l’image des autres pays en Europe, les moyens institutionnels et financiers de leur développement,
gage de politiques publiques au plus près des besoins des Français.
Faute d’obtenir satisfaction, les régions dont la détermination est encore renforcée par le résultat de
l’élection, n’auront d’autre choix que de remettre en cause certains de leurs engagements envers d’Etat
pour consacrer leurs énergies et leurs ressources aux projets validés par le vote des français.

Jacques Auxiette ; Jean-Paul Bachy ; Laurent Beauvais ; François Bonneau ; Jean-Paul Denanot ; Marie-Marguerite
Dufay ; Claude Gewerc ; Jean-Paul Huchon ; Jean-Yves Le Drian ; Alain Le Vern ; Victorin Lurel ;Martin Malvy ; Jean-
Pierre Masseret ; François Patriat ; Daniel Percheron ; Jean-Jack Queyranne ; Alain Rousset ; Ségolène Royal ; René
Souchon ; Michel Vauzelle ;

Contact presse
Marie d’Ouince 06 89 49 75 97 - Johanna O’Byrne 06 72 05 07 17

27 mars 2010

Réunion Conseil régional de Poitou-Charentes

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26 mars 2010

Avous de juger avec Ségolene le 25/03/2010

25 mars 2010

Photos 21 mars

les Photos du 21 mars au Salon de Blossac

http://picasaweb.google.fr/sabinejullian/Victoire#

par sabine Jullian

24 mars 2010

23 mars Ségolène sur TF1

23 mars 2010

Mon Dictionnaire Politique

Ségolène Royal : mon dictionnaire de la politique

mondictionnaire.jpg

 

Prochainement en librairie ( date prévue : le 29 avril ).

22 mars 2010

une victoire pour tout le pays

le 22 mars
 

Ségolène Royal, « une victoire pour tout le pays » !

    La socialiste Ségolène Royal a remporté le second tour des 
élections régionales, le 21 mars, en Poitou-Charentes avec 61 % des 
voix. L’immense victoire obtenue par Ségolène Royal dans la région Poitou-Charentes avec 61% des voix, ouvre une route d’espoir pour tout le pays.  

 

 

 

    L’espoir de mettre fin à la politique de Nicolas Sarkozy car après trois ans de gouvernance le bilan     est catastrophique :  

 

    « Le Président de la république, le gouvernement et la majorité parlementaire doivent prendre toute la mesure de cette défaite cinglante et     reconnaître leur échec, modifier radicalement leur orientation en renonçant aux régressions que la France subit dans tous les domaines : salaires, emploi, pouvoir d’achat, retraite,     santé, éducation, agriculture, logement, service public et sécurité.  Tout recule. Tout se précarise et nous ne l’acceptons plus …A ceux qui ont peur pour l’avenir de leurs enfants, à ceux     qui  souffrent, qui endurent, qui tiennent pourtant ; à ceux qui se demandent comment ils boucleront le mois ; à tous ceux qui pensent qu’un bulletin de vote ne sert à rien quand on n’a pas     de bulletin de paye décent, à toutes les classes moyennes qui se sentent menacées par le déclassement et à bien d’autre, je dis que nous n’acceptons pas tous ces dégâts, toute cette     injustice. »  

 

 

 

    L’espoir d’une autre politique car Ségolène Royal a montré dans sa région qu’une autre route est     possible :  

 

    « Cette unité nous donne un souffle, une nouvelle chance pour accélérer la bataille pour l’écologie, pour les emplois et pour la justice sociale, les     trois piliers de notre bon bilan et de notre projet moteurs avec la croissance verte… Nous sommes les témoins dans toutes nos régions que tous les talents et les énergies de     notre pays peuvent se développer et nous remettre debout, nous faire avancer et relancer la croissance et l’emploi et la mutation écologique. Ici, nous     transformons les paroles en actes au plus près des citoyens, nous construisons envers et contre tout, la République du Respect et nous allons continuer. »  

 

 

 

    Dans l’action sur le terrain, et non dans de vaines promesses, des effets d’annonce ou des combinaisons d’appareils politiques, Ségolène Royal porte l’espoir d’une alternance réelle parce qu’elle     a pu démontrer qu’une autre politique est possible face au pouvoir en place.  

 

 

 

    Après cette victoire la responsabilité du Parti socialiste est immense…  

 

    Lors de la dernière campagne présidentielle, la candidate socialiste avait su créer une dynamique comme aucun ou aucune autre socialiste n’était capable de le faire. Elle avait su porter un     projet novateur pour une alternance, non seulement dans les slogans, mais dans l’action. Mais elle avait subi l’attaque sur sa compétence qui avait été lancée par certains vieux loups socialistes     et reprise largement par l’équipe de Sarkozy.  

 

    Aujourd’hui l’incompétence a changé de camp avec l’échec du gouvernement dans tous les domaines : l’emploi, les salaires, l’école, la sécurité, … Ségolène Royal dispose donc de tous les     atouts pour réussir : la dynamique, le projet et la force des résultats de sa politique. Reste à connaître une inconnue : la cuisine socialiste … le parti socialiste, qui a perdu sa     force militante, sera-t-il un moteur pour la victoire ou un handicap qu’il lui faut dépasser ?  

 

 

 

    « Il nous appartient désormais de faire en sorte que cette victoire ne soit pas la victoire d’un camp, mais qu’elle soit la victoire pour tout     le pays. » Ségolène Royal  

 

 

 

    (photo de REUTERS/REGIS DUVIGNAU )  

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